AVFF
Bons ou mauvais, je me moque de l'avis de ces « amis » qui n'ont pas à passer une seule seconde dans ma peau. Je leur laisse leurs certitudes, leurs « c'est mieux ainsi » et autres « je te l'avais bien dit ». Je ne veux plus les entendre, ni même les voir, puisque, de toute façon, ils ne comprennent jamais rien. Leurs tapes sur l'épaule, leur mines faussement contrites, leur suffisance, leur paternalisme, qu'ils se les carrent profondément dans le cul.
Si j'avais encore un peu d'énergie, je leur ferais même payer. Mais ce serait une nouvelle fois profondément vain et ridicule. Juste revenir aux bases : chacun pour soi et Dieu pour personne.