Demain
Je ne suis même pas très sûr de vouloir assister au jour où Marine ou l'un de ses ersatz arrivera au pouvoir. Car se déclenchera alors un flot de ralliements, de reptations, d'allégeances serviles, de retournements de vestes, de conversions radicales et de passions soudaines finissant de me dégoûter du genre humain
De toute façon, nous serons sans doute alors en exil ou embastillés comme les phalangistes de José Antonio et Manuel Hédilla. Un premier chef assassiné par les rouges, le second condamné à mort et emprisonné par les nationaux-réactionnaires. Voilà ce qu'est un mouvement fasciste. On gagne sous son propre drapeau ou l'on disparaît.